lundi 24 janvier 2011

COMITE POUR L’UNITE D’AULNAY POUR L’ABROGATION DE LA CONTRE-REFORME SARKOZY SUR LES RETRAITES

Pour tout contact : Roland Gallosi 39, rue Degeyter à Aulnay ; Jacques Nepveu 12, av. Voillaume à Aulnay (06 07 02 65 81)


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ABROGATION DE LA LOI SARKOZY SUR LES RETRAITES !


REUNION PUBLIQUE

JEUDI 27 JANVIER 2011 à 20 heures

A LA SALLE DU FOYER DUMONT

Avenue Galliéni, à côté de la gare RER B


Prendront la parole :


- Roland GALLOSI, Adjoint au Maire d’Aulnay, PCF

- Jacques NEPVEU, militant laïque, POI

- Miguel HERNANDEZ, Adjoint au Maire d’Aulnay, PCF

- Gérard DIZAZZO, délégué à la Conférence pour l’unité ouvrière du 11 décembre

- Michel LEFEBVRE, syndicaliste enseignant, POI

- Joël BIARD, syndicaliste,

- Jean-Louis GUY, syndicaliste Aéroport de Paris, POI


Et les participants qui le souhaiteront.


A plus de huit reprises, en septembre et en octobre 2010, et par millions, les travailleurs de tout le pays se sont mis en grève et ont manifesté pour le retrait de la contre-réforme des retraites.

Cette mobilisation d’une ampleur considérable a été au bord de faire basculer le pays dans une grève généralisée jusqu’au retrait. Si elle n’a pas abouti, c’est d’abord en raison du refus de la direction de l’intersyndicale – appuyée par les partis de gauche – de reprendre le mot d’ordre du retrait et d’appeler à la grève jusqu’au retrait.


Si le gouvernement est parvenu à imposer sa contre-réforme, travailleurs, militants et responsables syndicaux, jeunes ont fait la démonstration de leur volonté de résistance et de mobilisation.

Chacun comprend que la contre-réforme des retraites constitue le premier acte d’un plan de rigueur et de contre-réformes sans précédent que le gouvernement Sarkozy-Fillon veut imposer au peuple au nom des déficits publics.


Il n’est pas question d’accepter de se plier à la « nécessaire réduction des déficits publics ».


Mettre le doigt dans l’engrenage d’un consensus sur la base de la « nécessaire réduction des déficits publics » qui commande le démantèlement de la Sécurité sociale, des hôpitaux, de tout le système scolaire, des services de l’Equipement, de la Poste, de tous les services publics, …, c’est un piège mortel pour la classe ouvrière et ses organisations.


Comment pourrait-on accepter d’attendre 2012 pour combattre pour l’abrogation de la loi Sarkozy sur les retraites ?


Il n’est pas question non plus d’accepter le chantage à l’inéluctable « nécessité » de la réduction des déficits publics, chantage orchestré par le FMI et l’Union européenne au nom d’un prétendu « intérêt » général.


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