Chaque Mercredi, je posterai ici sur ce blog, le programme du Front de Gauche pour 2012.
A vos réactions, avis, et autre bafouille. Tout les commentaires seront publiés
(sous réserve qu'il soit respectueux de chacun et aucun propos discriminatoires ou diffamants )
Agir tout de suite
- Rétablissement des 35 heures
- Droit à la retraite à 60 ans à taux plein
- Smic à 1 600 euros bruts par mois pour 35h
- Instauration du salaire maximum : dans chaque entreprise l’écart entre le plus bas et le plus haut salaire ne pourra dépasser 1 à 20
- Augmentation immédiate des bourses d’études, élargissement des droits sociaux aux jeunes majeurs.
- Convocation d’assemblées régionales et nationale pour l’emploi, les qualifications et les salaires
- Remboursement à 100% des dépenses de santé
- Abrogation de la loi Molle sur le logement
- Blocage des loyers
- Revenu maximum fixé à 360 000 euros par an
- Arrêt de la RGPP
- Abrogation de la réforme hospitalière, réintroduction des élections paritaires dans les caisses de gestion de la Sécurité sociale
- Mesures immédiates contre la précarité et titularisation des 800 000 précaires de la Fonction publique
Agir pour un changement durable
- Smic à 1 600 euros nets par mois pendant la législature
- Refonte du Code du travail pour abolir la précarité et établir l’égalité femmes-hommes
- Mise en chantier d'un système de sécurité d'emploi et de formation pour tous
- Mise en place d’un statut social pour tous les jeunes permettant leur autonomie
- Création d'un pôle public du médicament
Augmenter les salaires
Nous voulons rétablir le droit au travail, à l’emploi et au repos dans une nouvelle répartition des richesses.
Pour cela, nous établirons les 35 heures effectives, le droit à la
retraite à 60 ans à taux plein, le Smic à 1 700 euros et un salaire
maximum qui ne pourra dépasser 20 fois le plus bas salaire dans les
entreprises publiques et privées.
Les 35 heures seront pleinement établies par la loi, sans annualisation, ni perte de salaire avec les embauches correspondantes notamment dans la Fonction publique et sous le contrôle des élus du personnel. Le recours aux heures supplémentaire sera strictement limité. Nous agirons dans une logique de plein emploi, de réduction de temps de travail, d’abolition de la précarité et d’installation d’une « sécurité emploi formation ». Chaque année, nous réunirons les partenaires sociaux et les différentes collectivités publiques dans une assemblée nationale et des assemblées régionales permettant de fixer des objectifs précis pour l’emploi, les qualifications et les salaires.
Nous rétablirons le droit à la retraite à 60 ans à taux plein (75% du salaire de référence) pour toutes et tous avec la prise en compte de la pénibilité de professions particulières donnant droit a des départs anticipés.
Aucun salarié ne touchera une retraite inférieure au SMIC. Le financement de la retraite sera assuré en particulier par une cotisation nouvelle sur les revenus financiers des entreprises au même taux que pour les cotisations employeurs sur les salaires. L’accroissement du taux et de la masse des cotisations patronales sur les salaires sera modulé tenant compte des choix de gestion de ces entreprises. Aucun recours à la fiscalisation des retraites ou de la protection sociale ne sera opéré pour leur financement.
Nous voulons réévaluer l'ensemble des salaires et des traitements, des indemnisations du chômage et des retraites et les indexer sur l’évolution du coût de la vie. Nous porterons immédiatement le Smic à 1 700 euros bruts par mois pour 35 heures conformément aux revendications syndicales et 1700 euros net pendant la législature. Par la fiscalité nous établirons un revenu maximum fixé à 20 fois le revenu médian (soit aujourd’hui 360 000 euros par an).
Nous voulons éradiquer la pauvreté ! Aucun revenu ne pourra être fixé sous le seuil de pauvreté en tenant compte de la composition familiale. Les minimas sociaux seront fixés en référence au Smic et indexés sur celui-ci.
Un salaire maximum sera instauré. Comme le propose la Confédération Européenne des Syndicats, dans toutes les entreprises, l’écart entre le plus bas et le plus haut salaire ne pourra dépasser 1 à 20. Ainsi, les patrons ne pourront gagner plus sans d’abord augmenter les salariés du « bas de l’échelle ».
Les 35 heures seront pleinement établies par la loi, sans annualisation, ni perte de salaire avec les embauches correspondantes notamment dans la Fonction publique et sous le contrôle des élus du personnel. Le recours aux heures supplémentaire sera strictement limité. Nous agirons dans une logique de plein emploi, de réduction de temps de travail, d’abolition de la précarité et d’installation d’une « sécurité emploi formation ». Chaque année, nous réunirons les partenaires sociaux et les différentes collectivités publiques dans une assemblée nationale et des assemblées régionales permettant de fixer des objectifs précis pour l’emploi, les qualifications et les salaires.
Nous rétablirons le droit à la retraite à 60 ans à taux plein (75% du salaire de référence) pour toutes et tous avec la prise en compte de la pénibilité de professions particulières donnant droit a des départs anticipés.
Aucun salarié ne touchera une retraite inférieure au SMIC. Le financement de la retraite sera assuré en particulier par une cotisation nouvelle sur les revenus financiers des entreprises au même taux que pour les cotisations employeurs sur les salaires. L’accroissement du taux et de la masse des cotisations patronales sur les salaires sera modulé tenant compte des choix de gestion de ces entreprises. Aucun recours à la fiscalisation des retraites ou de la protection sociale ne sera opéré pour leur financement.
Nous voulons réévaluer l'ensemble des salaires et des traitements, des indemnisations du chômage et des retraites et les indexer sur l’évolution du coût de la vie. Nous porterons immédiatement le Smic à 1 700 euros bruts par mois pour 35 heures conformément aux revendications syndicales et 1700 euros net pendant la législature. Par la fiscalité nous établirons un revenu maximum fixé à 20 fois le revenu médian (soit aujourd’hui 360 000 euros par an).
Nous voulons éradiquer la pauvreté ! Aucun revenu ne pourra être fixé sous le seuil de pauvreté en tenant compte de la composition familiale. Les minimas sociaux seront fixés en référence au Smic et indexés sur celui-ci.
Un salaire maximum sera instauré. Comme le propose la Confédération Européenne des Syndicats, dans toutes les entreprises, l’écart entre le plus bas et le plus haut salaire ne pourra dépasser 1 à 20. Ainsi, les patrons ne pourront gagner plus sans d’abord augmenter les salariés du « bas de l’échelle ».
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